Photographe-BONNEFOY Vincent

Départ la derniére semaine d'Octobre, le samedi matin de bonne heure de Bordeaux, direction Paris, puis Bangkok. Nous arriverons à Katmandou à 14h le lendemain, mais ils nous faudras encore 2 h pour le controle de douane et + de 2h pour rejoindre l'hotel (circulation plus que dense). Pour nous dégourdir un peu les jambes, nous faisont un tour dans la ville, histoire de prendre l'ambiance; mais pas trop car le lendemain, nous partons pour Pokhara à 8h du mat (avec les 6h de décalage horaire) + la fatigue du vol=dur dur.

Place au premiéres photos.

Notre avion à Bangkok, après 12h de vol.

On arrive à Katmandou

Le lendemain, nous ferons donc connaissance avec notre guide et des 3 porteurs pour 11 jours en communs. Chargement de tous le bardas dans un mini van et direction Pokhara a 6 h de route + 2h de marche pour rejoindre notre premier village normalement. Mais au Népal, rien est simple; car il nous faudra plus de 8 pour faire la route et du coup, nous n'aurons pas le temps de faire les 2 h marche. le taxi nous conduira directement au village, non sans raler largement; car il n'y a pas de route; mais des chemins a peine praticables. Petit probléme, étant arrivé tard, nos chambres ont étaient reloué. A près pas mal de palabre, nous récupérerons une chambre à 3 lits, mais Laurent devra dormir avec les guides et porteurs, dans un confort plus que spartiate.

Une balançoire en bambou

Déjà le 4ime jours, mais 1 jour de treck. Le guide nous annonce une journée avec de faible dénivelé de 5-6 de marche + 1 petite heure sur route entre 2 vallée (je rale pas mal), car je ne suis pas venue là; pour marcher sur une route. Des le départ, nous avons un escalier en pierre d'environ 50m, arrivé en haut, je suis déjà complétement trempé et essouflé. Faut dire qu'il fait relativement chaud et humide (short et tee shirt) et cela continura toute la journée avec des marches, mais surtout des sangsues que le guide nous enlévera réguliérement avec du gros sel. Au final, nous mettrons moins de 5 h, pour rejoindre le village (la route étant un chemin praticable qu'avec un bon 4*4). Le lodge est bien, dans un charmant village et nous avons 2 chambres, au lieu de 3 normalement (une pour Laurent, une pour Loic et une pour nous deux); mais pas d'eau chaude, pas de douche. Nous ne le savons pas encore, mais nous n'auront jamais 3 chambres, jamais de douche et d'eau chaude; pas vraiment géant pour nous, mais compliqué pour Cécilia.

Dur dur d'être porteur.

Ahh, les fameuses marches.

Des orchidées partout sur les arbres.

Notre deuxieme village.

Notre lodge d'un soir.

Les journées de marche, ce suivent et ce ressemble, mais s'allongent doucement (environ 7h par jour), toujours dans des petits chemins bourrés de pierres (dur pour les jambes) et au milieu de rhododendrons géant (entre 7-10 m) et dans un taux d'humidité record (pendant les 10 jours), nous n'arriverons pas a faire sécher nos affaires, qui passent pourtant toute la journée sur le sac à dos. Nous ne gagnons guére en altitude, passant de vallée en vallée, sans vraiment gagner d'altitude. Au 5 ime jour de treck, nous sortirons des bois, pour attaquer les vallées en riziéres (c'est la péroide de la récolte du riz et du millet). A partir de là, nous ne ferons plus que monter.

Enfin, l'on vois les montagne. Nos porteurs sont déjà loin.

 Une porteuse avec qui j'ai fais un bout de route et échangé par geste.

Notre 3 eme village est en vue.

Ont arrivent de la créte tout au fond.

Dernier jour de treck facile, ce soir nous seront a l'entrée du parc de haute montagne (permis de treck obligatoire). Finie les villages et le confort spartiate, on attaquera le dur.

 Notre guide Tanka.

Un glissement de terrain, d'environ 25-30 par env150m.

Dur dur les marches.

Une cuisine moderne.

Tanka s'offre un peu de détente.

Pour l'Evereste cela a était plutot facile, je trouve.

Notre but a porté de vue (Anapurna1 avec le Machapuchare)

A partir de là, nous entrons dans le parc des annapurnas, il nous reste 4 jours de marche pour atteindre notre but le Mardi Himal (5200m), dans des conditions trés rustique (1 chambre par soir, pas de chauffage; nourriture au minimum (1 ptit bol de soupe de lentille+1 bol de riz) et  surtout 4 jours a 1000 m positif ou + par jour ce qui me fait peur depuis le départ (pas sur de pouvoir le faire). L'avenir nous le dira.

De temps en temps, un temple au milieu de rien.

Pose thé, comme 3-4 fois jour.

Cuisine plus que spartiate. Pourtant ils arrivent a faire a manger pour 30-40 personnes.

Le petit thé salvateur.

Humm, la bonne soupe aux lentilles.

Nos porteurs, comme tous les soirs, jouent au cartes.

Lever du jour sur l'Annapurna 1

Nos premier yacks

A partir de là, le vent et le froid deviendront cinglant. Les conditions deviennent vraiment dur et la fatigue commence a ce faire sentir. nous marchons comme des automates. Les arrets photos se font rare.

 Un Dalbat de luxe, normalement c'est un bol de soupe de lentille et un bol de riz, point.

Toujours une bouilloir sur le feu, pour le thé.

Il commence a vraiment faire froid et les premiers signes des montagne arrivent.

 Brouillard, vent, froid; dur dur.

Enfin, le but arrive. J'aurai lors de cette avant derniére journée; une forme olympique; que je payerai le lendemain. Durant la nuit, nous avons tous mal dormient et seront atteint plus ou moins par le mal des montagnes (surtout Loic et moi).

Buddilal, Kanchha, Pasang; nos 3 porteurs.

 Le Machapuchare de nuit.

Lever 4 h, pour commencer la derniére ascension qui doit nous amener a 5200 m. Hélas pendant cette ascension nous seront tous atteint plus ou moins par le mal des montagnes et abandonneront à 4800m.

La fine equipe au complet (les porteurs étant resté au chaud).

La longue descente commence, qui nous reservera une mauvaise surprise.

Voila l'invité surprise, la neige après le grésille.

A l'endroit ou l'on devaient dormir, il a fallut faire un choix: dormir ici comme prévu au risque d'étre bloqué ou faire double journée? Sous la pression du guide, nous ferons deux journées dans une. 4h du mat 19h et de 4800 m à 2300m, soit 1000m positif suivi de 2500m de négatif; grosse très très grosse journée. Je pense que je vais m'en rapeller toute ma vie. Vous ne verrais que très peu de photo, car beaucoup trop dangereux pour le reflex et meme pour le téléphone. On ne voyaispas ou poser nos pieds et cela glisser très fortement.

Le matin même, nous étions sur le plateau à coté du Macahpuchare (la montagne blanche).

 Un bon repas, un bon lit et une bonne douche nous ferons le plus grand bien. Pourtant le soir, nous seront tous unanime pour choisir pour le lendemain; l'option jeep au lieu des 4-5 h de marche pour rejoindre Pokhara. Nous le regretterons tous le lendemain en traversant de magnifique paysages, sans que le chauffeur veuille s'arréter.

Cécilia déguston son thé, au soleil levant.

On retrouve la civilisation et son bruit.

Son confort.

24h de repos, bien mérité je trouve; non? avec quand meme quelques visites.

Du chateau la Favierre. Un endroit sympa, un bon groupe qui bouge bien; bref un super concert.

D'Arcachon, bien sur.

CF:

 dans une vielle cave; près de chez moi.

Le canyon d'Ordesa. Le plus grand canyon d'Europe (12 km de long, entre 900 m et 1200m de haut). Le premier jour, nous l'avons fait au sprint en 4h (cause orage très menaçant) 12 km et 1000m de positif; dur, très dur, surtout avec des sacs lourds (tous ce qu'il faut pour 3 jours en autonomie complète). Mais heureux de l'avoir fait.

Beaucoup d'isards en moyenne montagne.

Une toute petite partie du canyon (environ 1/4).

Coucher de soleil, depuis notre petit nid.

Notre petit coin pour la nuit, avec une vue sublime.

Cécilia, pas vraiment alése sur les névés.

Pour vous donnez une idée des dimensions, vous avez au milieu de cette photo, un petit point orange. C'est l'hélico des secours en montagne.

Une partie du sentier de la montée.

7 jours de vacance au Maroc (congé de noel), en mode baroudeur en 4*4 et sans aucune location pour dormir ( apart pour le 1 et dernier soir).

Donc 1 jour, sur Marrakech, direction les souks et la place Jamaâ El Fna.

Le lendemain, on récupére notre 4*4 est direction le sud, par le col de Tizi-n Tichka, puis la vallée de Télouet, direction Ait-Benhaddou,ou j'envisage de dormir. Hélas, nous auront jamais le temps pour y arriver, nous dormirons donc à Télouet qui nous réservera une très bonne surprise.

début de la piste de la vallée de Telouet (splendide vallée).

Voila le riad ou nous dormirons, comme nous sommes les seuls clients pour dormir, nous auront droit à la suite royal, pour le meme prix.

Le directeur, nous proposera de nous faire une visite guidé de son village, qui détient un trèsor "la casba" qui de l'extérieur fait pale figure.

Mais de l'intérieur, qu'elle surprise. Cela vaut vraiment le coup, merci a lui de nous avoir fait découvrir cette merveille, que rien indique, hélas.

Le soir, nous mangerons en compagnie d'Australiens et d'Argentins, notre guide faisant la traduction pour tous. Une superbe soirée, froide; mais génial.

Quelques photos de notre suite (2 chambres, salon, terrasse privative  d'environ 50m2); bref le luxe ( a part le chauffage).

3 Ime jour, il faut aller vite, car on as déjà plus de 4 h de retard sur le planning extrémement serré. Direction Ait-Benhaddou, Ourzazate, la vallée du Dadés, Gorges de Dadés; pour rejoindre par le col de Tizi-n-Ouano les Gorges du Todras. Hélas, il nous sera impossible de passer ce col, car meme avec le 4*4, il y a beaucoup trop de neige. Donc demie tour, pour essayer de trouver de quoi dormir de nuit. Cela fut très ardu et j'ai bien cru que l'on aller dormir dans la voiture. Heureusement, le patron d'un petit restaurant, fera tout son possible, pour nous offrir le maximum de confort en plein hiver (neige et moins 10 dans la nuit). Un grand merci à lui.

4 Ime jour, il faut mettre vraiment du gaz, car là on a presque une journée de retard. Le patron de l'auberge, m'indique qu'avec mon 4*4, je ne pourrai pas

rallier comme je le voulais, Merzouga à Mhamid par les pistes. Il m'indique une autre piste plus courte, mais ne pense pas que je serai le soir à Mhamid.

Merci pour ses très bonnes indications et gaz.

Début de la piste.

5 ime jour, arrivé fort tard la veille, nous avions peur de rien trouvais pour coucher; mais heureusement pour nous, les Touaregs sont des hommes d'honneurs. Nous avons donc dormis sous une tente Berber, merci à vous, pour l'acceuil. Lever tôt, pour profiter du lever du soleil sur les dunes, puis direction Agadir par la piste et un peu de route (500km, avec environ les 2/3 par la piste).

6 ime jour: étant arrivés fort tard la veille (+de 23h (du mal a trouver un hotel)), nous nous accordons une petite grace matinée (9h) est direction Essaouira (3h). Nous profiterons de l'après midi, pour flaner sur la plage, au port, dans les souks et manger en terrasse au choucher de soleil.

7 ime jour, direction de bonne heure pour Marrakech (faut rendre le 4*4 avant 10h), puis direction de la surprise que j'ai réservée à Cécilia.

Nous avons passés la derniére journée, a faire farniante et bronzage; après une semaine de bonheur a une cadence soutenue (le loueur ma avoué que c'était bien la premiére fois que l'on lui ramener un véhicule avec autant de km en 1 semaine (2400 en 6 j, donc env 1/3 en piste)). j'ai réussi a montrer à Cécilia, le Maroc que j'aime tant.